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Mesh, une entreprise qui offre un écosystème permettant de déplacer des actifs et effectuer des paiements crypto à partir de plus de 300 populaires bourses et wallets, a collecté 22 millions de dollars en série A.
Fondée en 2020 à San Francisco, Mesh – anciennement Front Finance – développe un « système d’exploitation financier moderne » qui connecte l’ensemble des grands exchanges et portefeuilles, tels que MetaMask et Coinbase, mais aussi des applications et institutions financières traditionnelles.
Son infrastructure permet aux entreprises d’activer pour leurs clients les transferts d’actifs, paiements crypto, l’agrégation de comptes et la négociation de titres, au sein de leur plateforme. Les utilisateurs peuvent s’authentifier auprès de plus de 300 banques, maisons de courtage, bourses CeFi et portefeuilles DeFi à travers « de véritables intégrations », d’après son site web.
Et Mesh vient de boucler un tour de financement de série A de 22 millions de dollars dirigé par Money Forward. La levée de fonds, annoncée hier, compte également la participation de Galaxy et Samsung Next. Elle porte le total du financement de la fintech à 32 millions de dollars.
Nous assistons à un changement massif dans lequel les consommateurs exigent un contrôle complet et transparent sur leurs actifs et s’attendent à ce que les services financiers qu’ils utilisent leur donnent ce contrôle. Mesh est à l’avant-garde de cette transformation des deux côtés du marché – bien placé pour jouer un rôle central en rendant chaque transaction numérique intégrée, sécurisée et conforme », a déclaré Bam Azizi, le cofondateur et PDG de Mesh, dans un communiqué.
Sur Techcrunch, le dirigeant a ajouté que Mesh réinventait « la couche de connexion qui est essentielle pour faciliter les expériences utilisateur axées sur le numérique, en donnant aux utilisateurs la possibilité d’accéder et de déplacer leur argent selon leurs propres conditions ».
La solution plug and play de Mesh est particulièrement intéressante pour les entreprises qui souhaitent offrir plus d’interopérabilité à leurs utilisateurs mais ne sont pas disposées à créer des API à partir de zéro pour chaque plateforme », a-t-il précisé.
