Levées de fonds et AquisitionsNews

Bequest Finance lève 2,7M$ pour gérer la crypto dans les successions

Crédit : Shutterstock

Bequest Finance, une startup qui offre des solutions permettant de rationaliser le transfert d’actifs numériques dans les successions, vient de collecter 2,75 millions de dollars auprès de Nyca Partners.

 

La semaine commence doucement en matière de levées de fonds dans le secteur blockchain. L’américain Bequest Finance semble être le premier projet à boucler un tour de table.

Mardi, la startup basée à San Francisco a annoncé un tour de financement de 2,75 millions de dollars dirigé par le VC new-yorkais Nyca Partners.

L’entreprise ambitionne de rationaliser le transfert d’actifs numériques, y compris de cryptomonnaies, dans le cadre de successions. Elle souhaite offrir une solution permettant aux juristes de gérer facilement ce type d’actifs sans savoir faire technique.

Bequest dirigera cette révolution dans l’industrie de plusieurs trillions de dollars des fiducies et des successions en créant des rails de distribution non dépositaires pour soutenir les processus juridiques pour les actifs numériques », clame la jeune pousse dans un communiqué.

La solution conçue par Bequest prend en charge les actifs numériques comme Bitcoin et Ethereum mais aussi les e-mails, en passant par le contenu photo et vidéo.

« Bequest Finance a créé un outil facile à utiliser pour les avocats spécialisés en fiducie et en succession afin de permettre à leurs clients de transférer non seulement de la crypto, mais à l’avenir, tout actif numérique protégé par un mot de passe », a de son côté commenté Hans Morris, directeur de Nyca Partners.

Alors que des cryptomonnaies se retrouvent chaque année perdues à jamais après la mort de leur propriétaire, des solutions d’héritage numérique commencent à émerger.

L’an passé, Solal Tech, une startup tricolore qui développe aussi une solution permettant de léguer des actifs numériques, levait également des capitaux.

Pour suivre l’actu Crypto et Web3, retrouvez Coins.fr sur Twitter, Linkedin, Facebook ou Telegram