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Après 10 ans de bons et loyaux services, Nik Bougalis, responsable ingénierie chez Ripple, tire sa révérence. L’ingénieur en chef veut aujourd’hui s’éloigner de l’écosystème Web3.
« Toutes les bonnes choses… », voilà comment l’ingénieur en chef de Ripple a commencé l’annonce de sa démission vendredi sur Twitter, précisant que la décennie passée au sein de la firme blockchain américaine avait été « fantastique », bien « qu’épuisante ».
Je suis reconnaissant d’avoir eu l’opportunité de travailler aux côtés de David Schwartz et d’avoir appris avec lui , Arthur Britto, mes coéquipiers de l’équipe C++ (passés et présents) et tant d’autres chez Ripple », a-t-il ajouté.
Concernant le réseau blockchain XRP Ledger (XRPL), Nik Bougalis a fait savoir que « sa santé et son succès à long terme » ne dépendaient pas « d’une seule personne ».
« Je suis convaincu que tout ira bien, grâce à des personnes talentueuses et passionnées qui contribuent et participent, chacune à leur manière », a-t-il dit à ce sujet.
Nik Bougalis a conclu son thread Twitter en indiquant qu’il ne rejoindrait pas une entreprise du Web3. L’ingénieur blockchain ne veut désormais plus entendre parler de cryptos et autres NFT.
La démission de Bougalis intervient alors que Ripple a dernièrement remporté une bataille dans le cadre du procès qui l’oppose au régulateur américain SEC depuis maintenant près de 2 ans.
La société basée à San Francisco annonçait récemment développer une sidechain compatible Ethereum sur son réseau XRPL avec Peersyst.
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